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Exploitation
et Conclusion |
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34 Personnes, agées pour la plupart de 16 à 18 ans, ont donc participé à l'expérience. Ces personnes nous ont apporté les résultats suivants : Habitudes alimentaires : Les questions posées sur la feuille de questionnaire portaient sur les habitudes alimentaires des testeurs. Ils étaient supposés cocher la case hiérarchique qui correspondait à la quantité en tel ou tel aliment qu'il consommait. Ainsi, les choix "sodas" et "sucreries" nous renseignaient sur la consommation en sucre du testeur et "chips" et "plats préparés/surgelés" sur sa consommation en sel, tandis que si celui si consommait de la nourriture BIO en grande quantité cela pouvait laisser à penser qu'il mangeait relativement sainement, et une cuisine pauvre en substances salées/sucrées. La dernière option nous renseignait évidemment également sur sa consommation en sel. Atelier 1 : 29 bonnes réponses et 5 mauvaises réponses. >> 85% des personnes interrogées ont donné la bonne réponse (et savent donc clairement reconnaitre sel et sucre.) Atelier 2 : Expérience
1 : Mode : 3(0.01
mol/L) Corrélation
avec les habitudes alimentaires :
Premier
graphe : Second
graphe : Nous pouvons donc en "déduire" (aux seules vues du graphique, étant donné les nombreuses limites de notre expérimentation, et bien que cela ne soit pas flagrant) que le gout est mieux détecté par les personnes ayant un régime alimentaire modéré en sucre : En effet la moitié des personnes considérées comme consommant beaucoup de sucre détectent le gout à la 5e solution seulement, alors qu'aucune ne détecte si tardivement dans le cas contraire. Nous ne pouvons aller plus loin concernant l'exploitation étant donnée la faible cohérence de ces courbes...
Corrélation
avec les habitudes alimentaires :
Premier
graphe : Second
graphe : Ici la faible consommation de sel favorise plus ou moins sa perception...
Atelier 3 : Dans
cette expérience peu d’élèves ont trouvés
la bonne réponse : en effet seulement 18% des personnes interrogées.
Ce résultat peut être expliqué par la différence
visuelle des deux morceaux de chocolat. Ceci mettrait bien en évidence
que la vue rentre en compte lors de la définition d’un goût
chez des personnes peu entraînées à définir
un goût d’une substance. Cette expérience permet accessoirement
de montrer que la question a une influence sur la réponse (les
testeurs "cherchent" une différence, alors ils en trouvent
une. D'ailleurs, même quand ceux ci on appris la vérité,
certains (et des connaisseurs ! ;-) continuaient à démentir
, persuadés qu'il s'agissait bien de chocolats différents) Limites : Nos résultats ne sont sûrement pas vérifiables car beaucoup de facteurs limitent leur validité. En effet le peu de personnes interrogées (34) constituent une première limite. De plus comme le montre la première expérience certaines personnes ne font pas la différence entre un goût salé et goût sucré et d’autre personnes ont une mauvaise définition du goût sucré et salé. La dernière expérience montre bien qu’il y a d’autres sens (la vue en particulier) qui interviennent lors de la définition d’un goût. De plus beaucoup de personnes avaient mangé avant de venir effectuer la série de tests, et ceci peut altérer les résultats. Enfin lorsque nous avons exécuté tous nos tests il y avait parfois beaucoup plus de trois cobayes dans la salle ainsi les résultats ont pu être échangés. En ce qui concerne l'exploitation elle même nous n'avons pu discuter avec le professeur de Mathématiques afin d'avoir des conseils dans notre exploitation, ce pourquoi elle reste sommaire. Nous avons l'intention de corriger le tir dans les jours qui viennent. Ces raisons expliquent de probables erreurs dans notre conclusion. Plus d'information en page documentation.
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